@Pierre:
Je pense que tu n'as pas tout lu, et donc tu raccourcis un peu mon propos. Ce que j'explique c'est que à partir du moment où on amplifie une contrebasse, l'apport d'une lutherie 1/2 caisse par rapport au solid body joue un rôle très mesur?. Le plaisir ? jouer
amplifié vient du rçalisme de la position et de la qualité de fabrication de l'instrument et pas, selon moi, d'une quelconque cavit?.
Il n'y a pas de sup?riorit? de la solid-body, je ne crois avoir prétendu ça ? aucun moment. Mais que c'est ce qui me semble être le plus proche du but du contrebassiste pour qui il ne s'agit que d'un moyen de jouer silencieusement et de transporter facilement un instrument peu fragile en répétition sans changer de doigt?, voire en concert en gardant un "style" lorsque les ing? son s'en foutent.
Mais tout ça je l'ai déjà écrit... mais je vois bien qu'il faut t'aider

. Il me semble que mon propos donne des ?làments de réflexion avant un achat de contrebasse électrique. Rien n'oblige les lecteurs ? adhérer ? toutes mes conclusions, ni ? ne pas se faire leur propre opinion.
Pour ce qui est des micros, les piezos céramiques ou polymère, comme il n'y a aucune électronique à part la pastille elle-même, il ne s'agit que d'un choix de positionnement, d'épaisseur et de surface de partie active soumises aux vibrations, de dopage/polarisation de la céramique ou du plastique. Ce sont des boites très spécialisées qui rçalisent ce genre d'opération, je doute que les fabricants de micros le fassent eux-même. Si la qualité s'améliore, c'est grace au progrès technologiques des chimistes/dopeurs/polariseurs et aux acheteurs de chez gage, FWF et compagnie. C'est comme le bois pour un luthier: il ne lui pousse pas sur le ventre, tu vois ce que je veux dire?