j'ajoute qu'au départ ma basse sonnait un peu sourde les aigues n'étaient pas très chantants ? cause du vernis trop ?pais qui l'empatait un peu, maintenant j'ai l'impression qu'ils sont plus clair donc c'est cool j'y gagne aussi niveau son.
Note que ça m'?tonne po. Un gros vernis ça doit quand même pas mal ?touffer.
Salut, il manque toutes les interventions de Sam.
Je sais que c'est dû aux réaménagements du forum.
Néanmoins, y a -t-il un moyens de retrouver ses commentaires (et les photos) ?
Merci
Séb a écrit :Salut, il manque toutes les interventions de Sam.
Je sais que c'est dû aux réaménagements du forum.
Néanmoins, y a -t-il un moyens de retrouver ses commentaires (et les photos) ?
Merci
C'est, je crois, impossible si le Sam ne s'est pas réinscrit avec le même pseudo.
Je déterre ce topic. Dommage que le principal intéressé ait disparu. Quels souvenirs avez-vous de sa méthode de décapage et du vernis utilisé ? Bizarrement je ne trouve aucune info sur le net, même anglophone.
Bon été à tous sinon !
Merci pour cette intervention que je plussoie.
J'apprécie ma pôv' basse qui suffit à mon jeu de noob, mais j'avoue que je l'aimerai encore plus mieux si elle changeait sa teinte qui tire sur l'orange.
Mais en effet on trouve queude sur le net au sujet du revernissage... et le luthier y veut pas faire, question d'éthique qu'il m'a dit.
Bon été à toi aussi.
C'est ma chinoise de base que je laisse en Bretagne. Une brave bête recouverte d'un affreux vernis orange, assez fragile du reste puisqu'il s'écaille facilement. Avec un peu d'énergie ça ne doit pas être difficile à poncer (j'ai fait un petit essai sur une éclisse). Mais cela doit prendre quelques heures quand même, d'où la réticence des luthiers : la facture doit être salée, sans bénéfice autre qu'esthétique, donc... Sauf à oser la couleur et les paillettes je ne sais pas ce qu'on peut y mettre sans trop galérer et avec l'assurance d'une teinte correcte (genre vernis à l'huile). Principe de base apparemment : que le vernis ne pénètre pas le bois.
La raison donnée par le luthier est que si elle a été vernie comme ça c'est car le luthier qui l'a fabriquée a choisi ce vernis, que c'est part entière de la basse et que donc part éthique il ne refait pas les vernis des contrebasses.
Ca peut s'entendre, mais ton explication est plus cohérente Bromius, car apparemment le sillet et le chevalet n'ont pas droit à l'éthique; le luthier me les a déjà retouchés
Mais bref, si je trouvais un tuto complet de décapage/vernissage je tenterais bien l'opération.
Hop !
Je réagis à ce topic pas seulement par solidarité avec bromius et gaille, mais parce que je suis aussi intéressé.
Ma thomann aura 3 ans au mois d'octobre, ce qui signifie "fin de la garantie Thomann". Je serai donc libre d'y apporter des modifs plus poussées qu'un changement de pique ou de cordes. Et j'ai en ligne de mire le vernis, qui est très brillant, fragile et à mon avis pas terrible.
Je souhaite donc décaper et faire une finition plus naturelle. La méthode mystère de Sam m'intéresserait donc aussi, ou, puisqu'il semble illusoire d'espérer la retrouver, tous échanges sur le sujet. Par défaut j'aurais tendance à penser : décapage manuel au papier de verre gros grain, puis grain fin. Mais c'est la suite qui interroge le plus : quel vernis, quelle teinte...
J'y ajoute une idée assez folle qui a germé dans mon esprit malade : cette jolie table est une bien belle surface inexploitée. Je suis amateur de graff' et autres arts "urbains" et ça me tenterait bien d'essayer une déco de ma mémé. L'idée d'y peindre un motif ne me branche pas, car je veux conserver un aspect plus naturel en rapport avec l'instrument. Du coup, je songe (accrochez vous) à la pyrogravure ! A priori, l'atteinte portée au bois reste limitée (la gravure reste très superficielle) et bien exécuté ça peut être d'un assez bel effet. Avez-vous déjà vu ou entendu parler de cela (quelques sujets sur des forum de lutherie me donnent à penser que c'est jouable) ? Pensez-vous que cela risquerait d'affaiblir la table ? Suis-je bon à interner ?