c'est surtout le "rétro-éclairage" qui est totalement raccord avec un public qui "vit" (et qui "vit" ..) le concert à travers son smartphone ...
Généralement, il y a des répétitions de phrases, que tu peux mémoriser. Le reste c’est bien souvent une grille, quelques signes de rappel, quelques breaks ou chorus, et beaucoup de place gagnée :)
Généralement, il y a des répétitions de phrases, que tu peux mémoriser. Le reste c’est bien souvent une grille, quelques signes de rappel, quelques breaks ou chorus, et beaucoup de place gagnée :)
Sauf que... les musiciens d'orchestre ont des partitions qui sont conçues spécialement pour permettre la tourne des pages. C'est le taf du typographe de faire en sorte que les pages soient convenablement disposées, en plaçant les tournes de pages lorsqu'il y a plusieurs mesures de silence. Lorsque ce n'est pas possible, l'un des deux musiciens du pupitre tourne la page pendant que l'autre continue à jouer (c'est notamment le cas pour les cordes qui jouent souvent de façon continue; les vents ont plus de silences). Les pianistes ont parfois même un tourneur de pages.
tu la sort d'où cette image ?? elle est géniale cette "partoche" ..!
bonnes remarques .le bassiste de jazz peux utiliser les cordes à vides pour tourner ses pages sans s'arrêter de jouer mais c'est acrobatique.Papageno a écrit : ↑05 juil. 2022, 14:20
Sauf que... les musiciens d'orchestre ont des partitions qui sont conçues spécialement pour permettre la tourne des pages. C'est le taf du typographe de faire en sorte que les pages soient convenablement disposées, en plaçant les tournes de pages lorsqu'il y a plusieurs mesures de silence. Lorsque ce n'est pas possible, l'un des deux musiciens du pupitre tourne la page pendant que l'autre continue à jouer (c'est notamment le cas pour les cordes qui jouent souvent de façon continue; les vents ont plus de silences). Les pianistes ont parfois même un tourneur de pages.
En big band, ça peut être différent: le typographe ne se donne pas forcément la peine de bien formater sa partoche, le contrebassiste n'a pas nécessairement de silences suffisamment longs pour tourner, ni de collègue qui continue à jouer pendant qu'il tourne la page.
C’est la seconde page (et oui, il faut tourner entre deux pages !) de « Fairies Aire and Death Waltz », composée par John Stump et arrangée par Accident.
Non, Solb mineur, c'est une tonalité cool: tu peux tourner la page pendant que tu joues un bon gros Sibb à vide sur l'accord de tonique, ou bien un Mibb (voire même un Fab) à vide quand tu arrives sur l'accord iv (Dobm7)...
