Dans tout ce que j’ai lu (des extraits de loi ou déc règlement ou bien de leur interprétation), je ne vois pas de contradiction sur les points suivants :
- le statut d’artiste est spécifique en terme de conditions d’application et de droits subséquents (au titre de l’assurance maladie, retraite, chômage etc.).
- on ne peut pas avoir le statut d’artiste via le statut d’auto entrepreneur
- le cumul des statuts d’artiste et de celui d’auto entrepreneur est possible si les champs d’activité sont différents (l’activité d’auto entrepreneur n’est pas celle d’artiste, mais autre, à vérifier par exemple celle de formateur)
- le guso permet de simplifier les démarches et pour l’artiste (au sens du statut) et pour l’oranisateur occasionnel, pour tout ce qui concerne les déclarations d’activités artistiques auprès des différents organismes sociaux
Et également que les textes (lois et règlements,, à savoir précisions de ce que sont les los pour qu’elles soient applicables, c’est à dire décrets, arrêtés) nécessitent souvent, pour une bonne application et interprétation, la rédaction de la part de l’administration elle même d’instruc, de notes d’application etc., qui sont elles même des interprétations des textes (lois et règlements).
Se plonger dans les textes (loi, règlements) n’empeche Pas de nécessiter une certaine dose d’interpretation, y compris de la part de l’administration elle-même.
Il faut même quelque fois étudier des documents antérieurs à la plublication de la loi pour bien en saisir l’essence, ce sont les motifs de la loi, voire les débats parlementaires. Cela permet d’en saisir l’essence.
Et pour finir, un rdv (voire plusieurs)informatif à pôle emploi doit pouvoir permettre de sortir du maquis avec les idées un peu plus claires.
Plonger dans les textes oui, mais avec masque et tuba, voire bouteilles et prof de plonge, c’est mieux.