La walking bass...










W.
Excellent...watchoumin a écrit :Voilà, j'ai modifié le titre
En même temps, faut prendre en compte que les mecs faisaient au moins (je dis bien au moins) un gig par jour. Sauf en tournée peut-être, parfois les déplacements faisaient sauter un jour. Bref, ça jouait tout le temps, tous les jours, et pas seulement dans la chambre tout seul! Nous avec 4 misérables gigs par mois on est contents, mais forcément, faut remettre les choses et les gens dans des contextes ad hoc et ne pas se comparer avec ce qui est incomparable (... de lapin).watchoumin a écrit :Ce qui m'impressionne le plus, personnellement, c'est que les trois musiciens parviennent à exprimer une musicalité énorme en jouant sur des tempos (tempi?) pareils.
Et une cohésion rythmique sans faille, et des idées, et du swing, et de l'humour...bref, c'est pô juste.
W.
La poule et l’œuf ? Peut-être qu'ils avaient ce rythme (de travail) parce qu'ils étaient aussi déjà bons...olive a écrit :un des musiciens disait : "à cette époque on jouait tous les jours, avec des séances de studio dans la journée et les clubs le soir, puis les jam jusque 4 h du mat, on se levait à midi et on recommençait."
Si... je pense que si...fredo a écrit :des fois ça fait du bien de s’arrêter un peu de penser ! non ?
Je pense qu'il y a une grosse part de détente dans l'histoire, que le gars, a force de faire tourner des tempos up, a trouvé le truc pour les faire tourner sans être tendu.gaille a écrit :Nan sans dèc' j'hallucine comment il tient le tempo en jouant à un doigt en main droite le Sam Jones. Au bout de 20 secondes j'ai le bras tétanisé moi.![]()
Simple question d'entraînement ?
Keep workin' (and walkin') quoi...olivier michel a écrit : Je pense qu'il y a une grosse part de détente dans l'histoire, que le gars, a force de faire tourner des tempos up, a trouvé le truc pour les faire tourner sans être tendu.
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