calandre a écrit :
la GN est juste devant et ça sonne dans un walking , sans en abuser.
Abzolument! Ce genre d'effets, c'est comme les épices en cuisine, si tu en mets partout t'as plus le goût naturel des aliments.. C'est comme la méthode de Mike Richmond sur les Walking Bass, dont on a causé sur le forum il y a qqs semaines. C'est une méthode qui propose des walk évolutifs dans lesquels s'incluent progressivement des effets (GN, triolets...). Mais si on fait tout ça pour de vrai, dans un groupe (surtout les dernières parties de cette méthode qui regroupent tous les effets décortiqués uns à un), on se fait virer illico! C'est tout bonnement anti-musical. Et un effet tant qu'on le maîtrise à escient et que ça ne devient pas une sale manie dont on est la marionnette passive, ça joue...
(je trouve).
ça vient tranquillou , métronome à 80 .
Ha bin voilà
80 à la noire c'est déjà pas mal vite...
Le truc c'est que l'on travaille TOUJOURS trop vite quand on aborde une nouvelle donnée. Toujours.
L'autre truc c'est qu'on travaille un rendu sonore. On s'attend à avoir un résultat sonore dans ce que l'on produit. Ce résultat sonore est créé grâce à un ensemble de mouvements générés par un mécanisme incroyablement complexe et subtil: le CORPS.
Et ce corps, quoi qu'en dise la culture médico-scientifico-occidentale a une intelligence propre tant qu'il n'est pas trop dominé par le mental.
Donc quand on a reconnu l'effet sonore tant désiré, on branche d'une part ses oreilles en mode "écoute bienveillante et intuitive", d'autre part on laisse faire l'intelligence corporelle, tout cela procurant un état assez méditatif vachement agréable, et les résultats tant désirés se présentent avec beaucoup plus d'aisance et de tranquillité.
Et finalement, c'est ça, souvent, qu'on veut